Le débat entre On-Premise et SaaS n’a jamais été aussi intense ! Avec la montée des régulations (NIS2, DORA, RGPD…) et la recrudescence des cyberattaques, de plus en plus d’organisations reconsidèrent l’hébergement local de leurs solutions stratégiques.
Pourquoi ce retour en force ?
Contrôle total : Sécurité, conformité et gestion des accès sans dépendre d’un fournisseur externe. Maîtrise des risques : Moins d’exposition aux attaques par supply chain. Surveillance accrue : Vision complète sur les infrastructures et les logs pour une meilleure réactivité. Réversibilité : Fin de la dépendance aux éditeurs SaaS et récupération simplifiée des données.
Mais tout n’est pas rose !
🚧 Coûts d’intégration et maintenance 📈 🚧 Responsabilité accrue sur la gestion et la sécurité 🔍 🚧 Mises à jour plus complexes 🛠️
Retour en arrière ou véritable nécessité ?
Chaque organisation doit peser le pour et le contre selon ses besoins et ressources. Entre autonomie et simplicité, où placez-vous le curseur ?
Même les PME ont tout intérêt à envisager l’On-Premise. La multiplication des SaaS entraîne souvent des coûts cachés, notamment lorsque les prix augmentent subitement, piégeant ainsi l’entreprise dans un modèle économique difficile à maîtriser. De plus, les défaillances de grande ampleur des SaaS posent de réels défis en matière de plan de continuité d’activité (PCA) et de plan de reprise d’activité (PRA).
Dans de nombreux cas, certaines informations sensibles peuvent également être revendues ou piratées, générant ainsi une contre-productivité significative pour l’entreprise.
