"L'épée de Damoclès" La guerre de style indirect par le Gal F. Gambiez -

Dernière mise à jour le 13 novembre 2024 à 19:01

Toujours dans notre optique d’apporter de la profondeur aux événements actuels de “Guerre/ crise” plutôt qu’être une énième voie au comptoir des platitudes, voici la présentation d’un livre quasi-prérequis à une discutions qui se voudrait constructive si l’on veux aborder la géostratégie actuelle.

Sommaire de l'article

Le contexte de l’épée de Damoclès ?

Dans une époque ou n’importe qui peu dire facilement n’importe quoi, faisons un focus sur les rédacteurs. Comme souvent à défaut de connaitre les personnes leurs fonctions peu apporter un gage de sérieux ou encore à minima comprendre plus aisément l’expérience induisant un discours.

L’Épée de Damoclès a été écrit conjointement par le général d’Armée F. Gambiez et le colonel M. SUIRE.

Le Gal F. Gambiez né le 27 février 1903 à Lille et mort le 29 mars 1989 fut le commandant du bataillon de choc en Corse pendant la Seconde Guerre mondiale puis général durant la guerre d’Algérie et historien militaire.

Comme vous le savez, le Bataillon de choc Français est quasiment un creuset historique des forces spéciales, et cela, de façon internationale.

Forces spéciales toujours à notre époque le bras armée de la guerre “moderne”.

Cet ouvrage a été publié avec le concours du centre National de la Recherche scientifique en 1967.

Pas des officiers de la théorie, matrixés…

Sans doute est ce dur, mais en tant qu’amateur de stratégie à force de voir les “élites” du domaine. chercher le biais de confirmation en citant comme des perroquets des citations de Clausewitz ou Tsun TZU sur des plateaux TV hilare de tout et rien… Ça démange…

J’apprends quoi avec ce livre de 1967 ?

Eh bien de base que la connerie est devenue un temple magnifique bâtit en allumette ?

La vérité est un mensonge ?

Que notre époque est foutue ?

Et sans blague, que la guerre indirecte est loin, très loin même d’être une nouveauté devant laquelle s’adapter et que finalement l’ignorance ou les intérêts immédiats sont les réels problèmes “moderne”.